Maria Duchêne-Ribotel aus Matran wird der Hexerei verdächtigt und befragt. Unter Folter legt sie mehrfach ein Geständnis ab, das sie anschliessend widerruft. Schliesslich wird sie ewig verbannt. Während des Prozesses denunziert Maria Duchêne-Ribotel diverse Personen, darunter Anna Berger und Clauda Cossonay-Morand, beide aus Noréaz. Anna Berger wird aufgrund fehlender Verdachtsmomente freigelassen. Clauda Cossonay-Morand hingegen, die bereits mehrfach wegen des Verdachts der Hexerei vor Gericht stand (vgl. SSRQ FR I/2/8 174.0-1), wird erneut verhört und gefoltert, ohne zu gestehen, und ewig verbannt. 1684 und 1688 wird sie auf dem Freiburger Territorium aufgegriffen und wieder ausgewiesen.

Maria Duchêne-Ribotel, de Matran, est suspectée de sorcellerie et interrogée. Elle passe aux aveux sous la torture, mais retire ensuite ses confessions. Elle est finalement condamnée au bannissement à perpétuité. Durant son procès, Maria Duchêne-Ribotel dénonce plusieurs personnes, dont Anna Berger et Clauda Cossonay-Morand, toutes deux de Noréaz. A défaut de motif de suspicion, Anna Berger est libérée. A contrario Clauda Cossonay-Morand, qui fut déjà inquiétée pour motif de sorcellerie à plusieurs reprises (voir SSRQ FR I/2/8 174.0-1), est à nouveau interrogée et torturée, et bannie à perpétuité. En 1684 et 1688, elle est encore une fois attrapée sur le territoire fribourgeois et sa sentence de bannissement est répétée.